Diplomaticos No 2, mention souvenir
Début septembre 2002, au loin la musique résonne.."oyé como va!" (phonétique bien sur), la mer des caraïbes se brise doucement à nos pieds, le malecon est aussi sale que beau, ciel et nuages se confondent avec la vaste étendue d'eau. Pierre Emmanuel et moi savourons nos derniers instants à la Havane, dans 4 heure retour à Orly... C'est à ce moment que je décide d'allumer mon premier et très rare (du moins en France) Diplomaticos No 2, un Obuso qui apaise ma lassitude. cette merveille m'avait été conseillé quelques jours auparavant par Hansel, un trafiquant de cigare vénézuelien. C'est dire si tout dans ce magnifique objet respire le bonheur et l'exotisme. J'ai réussi a les faire tenir une grosse année... Peut être un jour en refumerai-je...
oui, c'est une certitude.